En ce début d’année, l’envie de partager une expérience inspirante de 2022, elle nous rappelle des principes essentiels d’humanité !
Ce que j’ai vu,
Ce que j’ai vécu et
Ce qui m’a touchée…
Une semaine en immersion dans une communauté Maasaï, en connexion avec la nature, dans une forêt primaire.
Un quotidien dans la simplicité, pas d’eau courante ni d’électricité et la vie au rythme du jour,
des échanges et du partage d’une intensité exceptionnelle avec les Maasaï, qui sont fiers et heureux de partager leurs traditions.
Et aussi des moments de partage en silence autour du feu, sans faire grand-chose, juste être là, dans un état de réceptivité et de disponibilité à ce qui est, et on oublie le temps…
Bref, un petit aperçu de la sagesse Maasaï, incarner la joie en soi, c’est ce qu’il y a de plus important pour eux, et aussi vivre la force du lien et la primauté du collectif, du partage sur l’individuel.
J’ai vu et vécu :
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Dès mon arrivée, la chaleur de l’accueil Maasaï et l’énergie d’amour qui domine : ils sont radieux et rayonnent de joie dans leur façon d’être, avec des postures qui dégagent assurance, douceur et sérénité, le miroir d’un calme intérieur et d’un ancrage à l’instant présent.
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Le partage au quotidien de leur force de vie en participant à leurs danses traditionnelles et rituels avec les éléments de la nature.
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Une présence à l’instant présent et une connexion à la nature qui développe une écoute de soi et de l’autre, un calme intérieur.
Ils ne jugent pas les autres, ni les situations. Ils vivent l’instant avec une force tranquille qui vient de l’intérieur, une connexion au cœur qui les rend joyeux, ancrés et très présents et à l’écoute de soi, des autres, de l’environnement.
Ce que j’ai appris, retiré, découvert :
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Un ressourcement en profondeur, revenir avec plus de paix et de légèreté en soi, comme allégée de la pression ou de l’urgence à remplir ses journées. La force du lien entre eux, l’intensité des moments de partage qui donne l’impression d’avoir vécu très longtemps dans un autre monde.
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Une connexion avec la nature qui leur permet une vie dans le respect et en harmonie avec les éléments,
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Une présence à soi, à l’autre, à « ce qui est dans l’instant » qui fait des liens très profonds entre eux dans la simplicité,
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Une vie ensemble dans laquelle ils sont heureux de partager, ici la collectivité a un sens que nous avons perdu. Pour les Maasaï, être joyeux et avoir la joie en soi c’est ce qu’il y a de plus important.
Avec plus de recul, j’ai eu la chance de partager des moments intenses avec cette communauté qui vit encore selon la tradition Maasaï, « Les guerriers de lumière ».
Ils n’ont pas le progrès technique ni tout notre confort matériel, mais ils ont préservé jusqu’à présent, des principes de vie en société qui se sont délités dans la nôtre. Il y a plus d’ouverture du cœur et moins d’évaluations, plus d’acceptation des situations et de ce qui est à vivre, plus de douceur et de présence dans les relations entre les personnes, la vraie puissance est dans la communauté et dans le partage.
Et cela me donne envie de faire un lien avec d’autres enseignements où je retrouve quelques similitudes, comme dans les 4 Accords Toltèques, où l’on préconise des principes de bienveillance et de non jugement, aussi bien pour soi que pour les autres.
