Elle opère à notre insu ☀ Au contact du désert, faire le vide, se délester du superflu et se recentrer sur l’essentiel
Quand je pars marcher dans le désert, je vis « l’effet désert » !
L’image qui me vient, pour expliquer ça, c’est celle d’un placard à ranger : parfois, c’est plus utile de sortir toutes les affaires qu’il contient pour faire de la place, on fait le tri entre utile à garder et accumulation superflue à évacuer et ensuite on réaménage l’espace de façon plus adaptée et on sent plus allégé aussi soi-même ! ...
Le désert c’est pareil, la même sensation amplifiée de se délester et de toucher un mieux-être :
Vivre au rythme du jour, traverser des paysages de dunes à perte de vue avec des lumières changeantes suivant la course du soleil, suivre le pas nonchalant des dromadaires, les animaux du désert, se reconnecter à une vie simple et aux gestes essentiels en lien avec le milieu naturel, siroter le thé à la menthe autour du feu
Rien de tel pour faire le calme en soi, vider sa tête et revenir à l’essentiel : l’agitation du mental s’apaise, les pensées parasites s’envolent, les sollicitations extérieures sont stoppées… et on se retrouve face à soi-même avec beaucoup de tranquillité.
Plongeon dans l’ambiance ouatée et intemporelle du désert : cet environnement de sérénité immuable est une invitation insidieuse à se rapprocher de soi dans le calme et avec beaucoup de douceur, accueillir des émotions cachées ou oubliées, laisser émerger des prises de consciences, gagner en lucidité sur son chemin, revisiter ses choix, tout ça de façon naturelle au rythme de nos pas et de la contemplation de paysages épurés et infinis…
Et vous, avez-vous déjà expérimenté l’effet désert ou d’autres effets analogues ?
Racontez-moi vos expériences en commentaires